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Assurance prêt immobilier : avec la crise, les banques imposent plus de garanties

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La crise de Covid-19 a augmenté la probabilité de certains risques. Face à cette nouvelle situation économique, les banques exigent parfois que les emprunteurs souscrivent plus de garanties dans leur contrat d’assurance prêt immobilier. Mais ces garanties supplémentaires ont un coût non-négligeable. Comparer les assurances devient alors encore plus intéressant pour réaliser des économies !

Assurance emprunteur : la crise de Covid-19 pousse les banques à vous demander plus de garanties  

La crise de Covid-19 a fortement bousculé la situation économique de la France : cette dernière est moins stable et plus propice aux risques, notamment concernant l’emploi mais aussi la santé. Alors face à ce constat, les banques demandent, voire contraignent les emprunteurs à souscrire plus de garanties à leur assurance de prêt. Par exemple, elles insistent sur la garantie perte d’emploi.

Les banques imposent très souvent une autre garantie : celle portant sur les « maladies non objectivables » (MNO). Mais qu’implique-t-elle ? Elle couvre toutes les maladies « de notre époque » en lien avec le travail : fatigue chronique, problème de dos (lombalgie, hernie discale…), états dépressifs, épuisement professionnel, burn-out… En effet, la crise actuelle et la montée du télétravail, que les salariés ont parfois du mal à gérer, ont augmenté les risques à ce niveau.

Ces garanties sont-elles bien utiles ?  

Si la garantie liée aux MNO semble utile, il faut être plus circonspect avec la garantie perte d’emploi. Tout d’abord, cette dernière est onéreuse : entre 0,16 % et 0,90 % du montant du prêt, alors que les assurances emprunteur sont déjà très chères chez les banques. De plus, il peut s’avérer complexe d’accéder aux indemnisations en cas de perte d’emploi. Il faut être en CDI depuis plus d’un an et perdre son emploi à cause d’un licenciement économique. De plus, la couverture ne dure que 36 mois maximum sur l’ensemble de la durée du crédit et ne prend en charge qu’après un délai de carence.

Pour certains contrats, la somme promise n’est perçue que six mois après le début de la période de chômage. Pensez donc à bien lire les conditions de votre contrat afin de ne pas avoir de mauvaise surprise. Sachez également que si vous voulez procéder à un changement d’assurance prêt immobilier via une délégation d’assurance, il faudra trouver une formule disposant du même niveau de garantie que celui proposé par la banque. Choisissez donc bien vos garanties au moment de souscrire votre premier contrat.

Économisez sur votre assurance prêt immobilier en comparant les devis gratuitement !  

Vous l’avez compris : les banques font payer cher l’assurance emprunteur. Pour réaliser des économies, il faut donc passer par une délégation d’assurance via un assureur ou un courtier. Mais généralement, les banques vous imposent de souscrire l’assurance au sein de leur organisme pour pouvoir décrocher le prêt. Changer d’assurance ne sera donc possible qu’au bout d’un an grâce à la loi Bourquin.

Vous devrez donc trouver un contrat disposant du même niveau de garantie pour pouvoir réaliser des économies. Pour ce faire, le plus simple est de procéder à une comparaison d’assurances prêt immobilier. La démarche est très rapide via notre formulaire dédié : en renseignant quelques informations sur votre profil et en indiquant les garanties souhaitées, nous chercherons et trouverons pour vous le meilleur contrats en terme de prix et de garanties parmis nos différentes compagnies d’assurances partenaires !

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